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28 avril 2016 4 28 /04 /avril /2016 10:38

Emmanuel Maurel était le jeudi 28 avril 2016 l'invité de la Matinale de RFI pour aborder la question du TAFTA et du TISA : Pendant que les négociations TTIP/TAFTA occupent le devant de la scène, la Commission européenne continue de négocier à l'abri de la vigilance citoyenne le TiSA, un méga-accord commercial destiné à lever les dernières barrières à la libéralisation des services. Sur ce sujet, la Commission semble prête à franchir toutes les lignes rouges fixées par les parlementaires. 

Emmanuel Maurel : "Je pense qu’il y a plus de risques que d’opportunités dans ce traité de libre-échange..." - RFI, 28 avril 2016
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28 avril 2016 4 28 /04 /avril /2016 09:36

687238-000_dv1546447jpgLibération - propos recueillis par Lilian Alemagna — 27 avril 2016 à 17:56

Emmanuel Maurel, député européen PS, alerte sur cet autre traité commercial en cours de négociation dont l’objectif est de libéraliser les services.

Après le projet de Tafta (Trans-Atlantic Free Trade Agreement), traité de libre-échange transatlantique, vous vous opposez au «Tisa», de quoi s’agit-il ?

D’un nouveau projet de traité commercial international («Trade In Services Agreement») qui concerne 50 pays, dont les 28 de l’Union européenne, les Etats-Unis, l’Australie… Le but de cet accord est de libéraliser l’ensemble des services pour cadrer avec le contexte actuel de la révolution numérique. C’est une directive Bolkestein puissance 10 !

Quels services seraient libéralisés ?

Tous ! Y compris les services publics – transports, hôpitaux, écoles… Par ailleurs, comme pour le Tafta, les négociations ont été lancées dans une opacité totale, en Suisse en mars 2010. Il a fallu des fuites sur WikiLeaks en 2014 pour que la Commission européenne soit obligée de rendre publics quelques éléments. Mais nous en sommes au 17e cycle de négociation et personne n’en parle.

Pourquoi la France réagit-elle sur le Tafta et pas sur le Tisa ?

C’est une négociation qui se tient hors cadre de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) et ce n’est pas la France en tant que telle qui négocie mais l’UE.

Comme pour le Tafta. Comment expliquer que le gouvernement français ne s’alarme-t-il pas dès aujourd’hui ?

Parce que la négociation sur le Tisa est plus opaque, il y a moins d’intérêt immédiat. Le Tafta est plus compréhensible, plus visible. En face, ce sont les Etats-Unis et le modèle américain. Les Français comprennent les enjeux qui concernent notamment l’alimentation (poulet javellisé, bœuf aux hormones…). Pour le Tisa, il y a un travail pédagogique à faire, comme à l’époque de la directive Bolkestein, en 2005.

Que demandez-vous ?

D’abord, une révolution méthodologique : une transparence absolue. Ces sujets concernent la vie quotidienne des citoyens. On ne peut pas négocier comme ça dans leur dos. Ensuite, il faut garantir la protection des données personnelles, or nous n’avons aucune garantie sur le sujet. Il s’agit également de préserver les droits des Etats à légiférer. Par exemple, il existe dans cet accord des clauses qui rendraient irréversibles ces décisions de libéralisation : si un gouvernement libéralise le secteur de l’eau, un autre gouvernement élu ne pourrait pas revenir dessus. Je demande aussi à ce que les services publics soient exclus du champ de la négociation. Enfin, certains pays qui participent à ces négociations n’ont pas ratifié les conventions de l’Organisation internationale du travail (OIT). Tout le monde doit être à armes égales. Le Tisa est une bombe à retardement.

Lilian Alemagna

Après le Tafta, Tisa : «Une directive Bolkestein puissance 10 !» - Emmanuel Maurel, entretien dans Libération
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6 avril 2016 3 06 /04 /avril /2016 10:11

Tribune de Christian Paul - Le Monde - 6 avril 2016

Dans quelques jours, le sort des primaires de la gauche et des écologistes va se décider. Comme une majorité de nos concitoyens, je crois les primaires possibles, mais surtout indispensables.
Chacun peut en mesurer aisément l’audace et les risques. Mais refuser d’oser les primaires serait faire l’impasse sur l’élection présidentielle de 2017, et prolonger un peu plus la défaillance démocratique nationale.
Voilà pour quelles raisons les primaires ont du bon !
Elles sont au carrefour de l’exigence démocratique et de l’efficacité. Tout indique jusqu’ici que la gauche éclatée ne sera pas présente au second tour de l’élection présidentielle. Sans acte de rupture avec la routine du pouvoir et les divisions actuelles que produit ce quinquennat qui a déçu, la chronique de la défaite s’écrit imperturbablement. Sans effacer les désaccords, ni renoncer à l’inventaire nécessaire, chacun doit se saisir de sa responsabilité et ne pas se défiler.
Mais ne bornons pas les primaires à un rôle limité à la désignation des candidats. Ce serait consacrer un système institutionnel à bout de souffle, dont l’impuissance verticale n’est plus à démontrer. Les préparatifs de 2016 vont au-delà de l’expérience pionnière de 2011 : ce sont des primaires citoyennes, et plus largement ouvertes à toutes les forces de la gauche et aux écologistes.
Comme ailleurs en Europe, s’exprime en France un besoin impérieux de débats, de délibérations, de discussions. Et pas simplement sur des thèmes imposés par les appareils, les oligarchies et les conformismes. Dans des centaines de débats, on viendra parler de la France que nous voulons, de l’avenir de notre pays, de la réussite de sa jeunesse, de sa place dans le monde, de la possibilité de réussir sa vie.
Le but est de faire émerger les exigences essentielles, les valeurs et les priorités qui doivent être au cœur de la confrontation de 2017. Pour cela, nous devons inventer un protocole loyal et transparent qui garantisse l’écriture partagée d’une « charte citoyenne », une adresse ferme aux candidats. Cette démarche s’imposera dans la préparation de leurs programmes, pas pour les enfermer, mais pour rompre avec l’approche monarchique que la Vème République impose jusqu’ici à la veille des élections présidentielles. La parole que nous devons révéler, c’est d’abord celle du peuple.
Déverrouiller la démocratie, sera le premier enjeu de ces primaires en 2016, si nous savons en faire un grand événement dans cette année où tout est ouvert.
L’enjeu est bien de renouveler les formes politiques, avant comme après 2017. Tous les partis de gauche et l’écologie politique, sans exception, se sont dévitalisés et décomposés à l’épreuve du pouvoir, à partir de 2012. Quelle qu’ait été leur participation – ou pas- à la majorité et au gouvernement, ils se sont laissé dévaliser de leurs idéaux, de leurs projets, de leurs programmes. Solidaires des choix actuels, ils se renient et enferment la gauche dans leurs certitudes. Protestataires, ils se cantonnent dans ce rôle, pendant que la colère en France file ailleurs.
Les primaires ne sont pas un élixir de survie pour partis naufragés, mais une véritable occasion de muter. Muter, c’est renouer avec l’écoute des citoyens, l’intelligence du collectif et avec un récit national partagé. S’ils sont capables de donner un statut à la parole des citoyens, au « peuple de gauche » dans sa diversité, les partis auront fait un pas immense. Le nouveau rôle des militants se révélerait ainsi dans l’organisation de ces centaines de débats avant l’été dans tous les territoires, pas entre soi, mais avec les Français.
Choisir les primaires est un sursaut positif. Les Français les considèrent comme salutaires. Les balayer d’un revers de main serait suicidaire. Les conditions de réussite des primaires sont donc à afficher en commun sans retard. Le calendrier proposé dans la première quinzaine de décembre est réaliste. Il reste à fixer le temps des candidatures, leurs parrainages dont les citoyens ne peuvent être absents, les modalités d’une campagne ouverte et d’un scrutin compréhensible par tous.
Ces primaires sont une occasion unique de mettre au cœur de la présidentielle la question de la transformation de la démocratie française. Laisser les primaires à la droite, qui va se mettre en ordre de bataille, serait un paradoxe terrible. Les construire à gauche avec des millions de Français, c’est déjà montrer qu’il n’y a pas de candidature automatique. Aux citoyens, aux partis, aux candidats de s’en saisir pour dire enfin clairement que le pouvoir s’exerce au nom du peuple, et que sa confiscation, sitôt passée l’élection, est devenu l’un des pires archaïsmes qui minent notre République. Oser les primaires à gauche, c’est déjà s’engager résolument dans cette grande et urgente transformation. Oser les primaires, c’est aussi poser la première pierre de la prochaine gauche.

OSER LES PRIMAIRES À GAUCHE - Christian PAUL - Le Monde
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3 avril 2016 7 03 /04 /avril /2016 08:12

manif_31-03-2016

Le jeudi 31 mars 2016, nous étions comme socialistes présents dans les cortèges des manifestations, partout en France, contre le projet de loi El Khomri... Plus d'un million de personnes se sont rassemblés pour demander le retrait d'un texte qui promet d'entamer une grave régression des droits des salariés. Au-delà des mesures néfastes qui y sont développées c'est la philosophie même du projet qui est en cause, proposant les vieilles lunes libérales qui n'ont jamais permis la création d'emplois, sans répondre aux défis qui vont bouleverser au gré des révolutions technologiques l'organisation du travail au XXIème siècle.

La mobilisation est en forte hausse ; elle doit se poursuivre au moment où le gouvernement de Manuel Valls commence à être contraint de faire des concessions comme l'a montrée son annonce en direction des organisations de jeunesse et des propositions de l'UNEF, syndicat étudiant majoritaire. La courte vidéo ci-dessous a été réalisée à Paris par notre camarade Jean-Pierre Côté.

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30 mars 2016 3 30 /03 /mars /2016 13:25

mercredi 30 mars 2016
 
En renonçant à modifier notre Constitution pour rendre possible la déchéance de nationalité, le président de la République met fin à quatre mois d’une inutile controverse nationale.
 
Dans ce moment pourtant, tous les efforts auraient dû converger vers un seul but : l’unité nationale face à l’offensive terroriste durable. Le pays en sort divisé, et la gauche affaiblie dans ce qu’elle a de plus cher, ses valeurs.
 
L’impasse dans laquelle l’exécutif s’est enfermé a donné le mot de la fin à l’opposition, à ses fractions et à ses calculs.
 
Négligeant nos alertes, sourd aux rappels du principe d’égalité venus de partout, le président a tenté d’imposer des dispositions dont il avait lui-même jusqu’ici dénoncé sans appel le caractère contraire aux principes républicains.
 
De l’avis général, inscrire dans la Constitution la déchéance de nationalité n’aurait eu aucune efficacité concrète face au terrorisme. Comme message symbolique, elle a blessé le sentiment national de millions de nos concitoyens. Hélas, le mal est fait.
 
Ce qu’attend le pays, c’est l’action quotidienne et efficace, en France et en Europe, contre une menace dont nous savons la gravité !
 
Ce qu’attend notre pays, c’est aussi une volonté de réussir l’égalité, de lutter efficacement contre le chômage de masse, et de trouver la force collective pour faire vivre notre République.

"Un fiasco politique qui a abîmé nos principes" - A gauche pour gagner - Communiqué de Presse
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25 mars 2016 5 25 /03 /mars /2016 12:24

Ce week-end, Emmanuel Maurel a participé, avec Guillaume Balas, Isabelle Thomas, Pascal Cherki, Laurent Baumel, Philippe Casier et Eric Thouzeau, à la conférence #‎AllianceAgainstAusterity‬, à l'invitation de Syriza et du Parti de la Gauche Européenne, pour élaborer une alternative à l'austérité. Il est encore possible de construire une autre Europe. Ce travail s'inscrit dans la continuité du Left Caucus au Parlement européen, qui réunit des sociaux-démocrates, des verts et la gauche radicale.

Emmanuel Maurel #AllianceAgainstAusterity
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25 mars 2016 5 25 /03 /mars /2016 12:17
L'avenir du travail - notre "contre-projet" pour le droit du travail

contre-projet_El_KhomriDésarmer le droit du travail n’a rien de moderne, au contraire. Nous y voyons plutôt un fatalisme déjà dépassé, sans principes, ni ambition face au chômage de masse que la crise de 2008 et les politiques macroéconomiques étouffant la reprise ont propulsé à plus de 10%.

Avec nos camarades de la motion B du Parti Socialiste, "à gauche pour gagner", nous proposons ici une autre réforme. Ambitieuse pour tous, pour les salariés comme pour les entreprises. Car l’esprit de réforme, ce n’est pas de céder aux discours des puissants, mais plutôt de construire ensemble les protections adaptées aux formes nouvelles de l’économie.

  L'Avenir Du Travail - le Contre Projet Pour Le Droit Du Travail

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16 mars 2016 3 16 /03 /mars /2016 10:42

Cher-e-s camarades,

Plus que jamais, il y a de bonnes raisons de tenir bon et de faire contrepoids.

Nous étions parmi les jeunes et les salariés pour cette première journée de mobilisation réussie contre le projet de loi "Travail".

Engagés depuis longtemps dans le refus de la dérive libérale, impulsée par le gouvernement et accompagnée par la direction du Parti, nous entrons dans une période politique nouvelle avec ce mouvement social et citoyen qui donne entière raison à nos analyses et à nos propositions.

Nous travaillons à un contre-projet. De nombreuses fédérations et sections ont adopté des motions demandant le retrait du projet de loi. Au Bureau national, une très large majorité a également pu interpeller la ministre du Travail sur les dangers que constituaient de tels reculs sociaux. Au pied du mur, la majorité -fictive- du congrès de Poitiers n'a pas survécu.

Nous prenons également toute notre part à la préparation de la Primaire de la gauche et des écologistes. Avec les initiateurs de l'appel paru en janvier dans Libération, participent à cette démarche à nos côtés des représentants du Parti Communiste, d'Europe Ecologie-Les Verts et d'Ensemble, ainsi que des collectifs de citoyens engagés. La direction du PS a rejoint ces travaux préparatoires. Nous demandons que le Conseil national du 9 avril soit consacré à ce sujet.

Ne pas céder! C'est bien ce mot d'ordre que nous avons chacun(e) à l'esprit aujourd'hui pour combattre les contre-sens historiques que les Français sanctionnent élections après élections. Les législatives partielles de ce dimanche confirment cet effacement du PS.


Mais prenons surtout la mesure de notre responsabilité première pour construire un avenir à la gauche, avant et après 2017. Nous serons au cœur de la prochaine gauche parce que nous incarnons l'alternative crédible.


La place que nous avons conquise dans le parti, notre engagement dans toutes les mobilisations qui motivent à gauche dans le pays, notre capacité à parler avec toute la gauche nous en donnent la force et les moyens.


A condition de tenir bon, ensemble.

TENIR BON !
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12 mars 2016 6 12 /03 /mars /2016 10:52

Nous avons demandé le retrait d'un projet de loi qui est contraire à nos engagements de 2012 comme il est contraire à nos idéaux de justice sociale. Il encouragera encore plus le dumping social déjà largement pratiqué puisqu'il privilégie l'accord au sein de l'entreprise au détriment de l'accord au sein de la branche qui est plus protecteur pour le salarié. Contrairement à ce qui est affirmé, il ne facilitera pas la création d'emplois pour les chômeurs faiblement qualifiés qui ont avant tout besoin que l'on développe l'effort de formation professionnelle qui leur permettra de trouver un emploi durable. De plus il accroîtra la précarisation des salariés déjà très développée surtout dans la sous-traitance. En clair ce texte, c'est beaucoup plus de précarité pour les salariés, c'est faciliter les conditions du licenciement économique, ce n'est pas créer les conditions pour développer l'emploi en faveur des jeunes et des chômeurs.

Lors de la manifestation du mercredi 9 mars, plusieurs parlementaires socialistes étaient présents et ont été extrêmement bien reçus par les manifestants (ce qui tranche avec les précédentes mobilisations sociales), dont Jean-Pierre Blazy, député et maire de Gonesse, ainsi que de nombreux militants valdoisiens.

Vous trouverez également ci-dessous un tableau reprenant les contre propositions et corrections demandées par toute une série d’acteurs du débat (CFDT, CGT, CFE-CGC, FO, GRACT, Gérard Filoche, économistes, atterrés, Alain Supiot) sur la base de l’avant projet de loi El Khomri ; les modifications annoncées le 14 mars par le gouvernement ne sont pas de nature à modifier le déséquilibre découlant des mesures et de la philosophie même du texte (les grands principes du rapport Badinter ne sont plus contraignants comme c'était prévu dans l'avant projet de loi mais indicatifs  pas de changement sur l’appréciation des licenciements économiques sauf l’appréciation du juge après coup – lorsque les entreprises auront été fermées – ; barèmes indemnités prud’homales pour licenciements abusifs indicatifs ; rien de nouveau sur le compte personnel d’activité, si ce n’est la “garantie jeune” qui existait déjà)… A lire ces propositions, on comprend difficilement comment le texte ne pourrait pas être retiré pour rédiger un document totalement nouveau et partir sur de nouvelles bases, et comment dans ces conditions la CFDT peut désormais apporter son soutien au projet.

Les militants et parlementaires socialistes étaient présents et salués lors de la manifestation du 9 mars, tant par les personnes mobilisées que par les responsables syndicaux
Les militants et parlementaires socialistes étaient présents et salués lors de la manifestation du 9 mars, tant par les personnes mobilisées que par les responsables syndicauxLes militants et parlementaires socialistes étaient présents et salués lors de la manifestation du 9 mars, tant par les personnes mobilisées que par les responsables syndicaux
Les militants et parlementaires socialistes étaient présents et salués lors de la manifestation du 9 mars, tant par les personnes mobilisées que par les responsables syndicauxLes militants et parlementaires socialistes étaient présents et salués lors de la manifestation du 9 mars, tant par les personnes mobilisées que par les responsables syndicauxLes militants et parlementaires socialistes étaient présents et salués lors de la manifestation du 9 mars, tant par les personnes mobilisées que par les responsables syndicaux

Les militants et parlementaires socialistes étaient présents et salués lors de la manifestation du 9 mars, tant par les personnes mobilisées que par les responsables syndicaux

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23 février 2016 2 23 /02 /février /2016 09:47

Pour la première fois en trois ans, tous les principaux syndicats se réunissent ce mardi pour décider des actions à mener sur le terrain. La CGT se dit favorable à un rapport de force avec l'exécutif. Le député européen PS Emmanuel Maurel appelle quant à lui les militants "à se révolter" contre cette réforme à venir du droit du travail. La pétition, dont Caroline de Haas, est à l'origine a recueilli en quelques jours près de 300.000 signatures. 

Emmanuel Maurel, eurodéputé socialiste, répondant le 22 février 2016 aux questions de i>télé

Emmanuel Maurel, eurodéputé socialiste, répondant le 22 février 2016 aux questions de i>télé

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