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22 septembre 2009 2 22 /09 /septembre /2009 16:59


Chers amis et chers camarades,

La rentrée politique de la fédération du Val d'Oise du Parti socialiste a déjà eu lieu le dimanche 13 septembre dernier mais il nous apparaît nécessaire de nous retrouver ensemble après les élections cantonales partielles d'Argenteuil Est (dont nous n'avons pas encore les résultats définitifs, mais qui ont donné lieu à un premier tour difficile pour la gauche) et au lendemain des universités de rentrée de notre courant à Port-Albret dans les Landes.

C'est pourquoi nous vous proposons de nous retrouver en Assemblée Générale de la Motion C

Lundi 28 septembre 2009
à 20h30
Salle de l'Orangerie
Parc des Mézières, avenue de l'Europe
à Eaubonne

(en face de la Poste principale d'Eaubonne)

à l'ordre du jour :
  • Situation politique générale et départementale ;
  • Retour sur les universités de rentrée de « Un Monde d'Avance » et vie du courant ;
  • Consultation militante sur la rénovation ;
  • Élections régionales ;
  • Questions diverses.

Dans l'attente de nous retrouver, reçois nos amitiés socialistes.
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17 septembre 2009 4 17 /09 /septembre /2009 14:38
Vous pouvez télécharger ici la première lettre du courant "Un Monde d'Avance" dans le Val d'Oise.
Au sommaire :
  • Éditorial « Rassembler la gauche, une stratégie et un projet »    p. 1
  • Actualités sociales « Trou de la sécu », par Steven Dutrartre    p. 2
  • Val-d'Oise : à gauche...    p. 2
  • Éducation « une rentrée universitaire tendue », par Léo Moreau et Sébastien Lombard    p. 3
  • Agenda    p. 3
  • Hyperliens    p. 3
  • Cantonales « UVO ou la confrérie des notables d'hier et d'avant-hier » par Gérard Sébaoun    p. 4
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14 septembre 2009 1 14 /09 /septembre /2009 10:00
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11 septembre 2009 5 11 /09 /septembre /2009 08:34
Posté par Benoît Hamon



Benoît Hamon réagit aux "propos honteux et inqualifiables" du ministre de l’Intérieur, Brice Hortefeux. Ces propos tenus dans une vidéo filmée lors de l’Université d’été de l’UMP sont "injurieux à l’égard de millions de nos compatriotes" conclut le porte parole du PS avant d’en appeler à la démission du ministre de l’Intérieur. La vidéo en question est disponible ici.

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8 septembre 2009 2 08 /09 /septembre /2009 15:32

"Un club de boulistes" avait dit Francis Delattre, sévère sur son propre camp après la défaite de mars 2008. Je lui laisse la paternité de cette attaque frontale. Quand on regarde ce qu'ils produisent au travers de leurs différents écrits, c'est à se demander si nous vivons vraiment dans le même département et à la même époque ?

Ils parlent de nous comme au temps de la guerre froide et du mur de Berlin tombé il y a 20 ans... de "l'alliance socialo-communiste", mais pour faire peur à qui ? C'est un vrai mystère. Je tente 2 explications basiques :

Si c'est pour dire que le PS et le PC sont alliés dans la majorité de gauche au conseil général, c'est une évidence et une situation commune à des centaines de municipalités de toute taille, dans plus de la moitié des départements et la très grande majorité des régions où les français nous ont font largement confiance.

Si c'est pour essayer de ressusciter le spectre de Staline ou de Brejnev, leur cas est alors beaucoup plus grave que je ne l'imaginais. Il faudrait leur annoncer avec délicatesse en raison de leur très grand âge que feu Joseph Staline nous a quittés en 1953 et que la Seine et Oise n'est plus !

Ils attaquent toutes nos initiatives et toutes nos décisions sous les prétextes les plus futiles et les plus fallacieux. Quelques exemples et de leurs votes et de leur positionnement illustrent bien leur archaïsme et leu déconnexion avec la réalité du moment :

  • La restauration moins chère dans les collèges : vote contre. Pourquoi : parce que...

  • L'aide au permis de conduire pour les jeunes : vote contre.  Pourquoi ? Parce que... 

  • La contractualisation avec les communes : une catastrophe, un exercice pour favoriser les communes de gauche etc. Autant de contre vérités qu'ils tentent de véhiculer depuis des mois auprès des Maires valdoisiens qui ne s'y laissent pas prendre (à part évidemment quelques afficionados de droite). Rendez-vous le 25 septembre pour une séance qui promet d'être animée et qui surtout rétablira la vérité à savoir que c'est un projet moderne, équitable et qui n'ostracise personne, au contraire.   

  • Les Etats généraux des transports : une opération électorale éructent-ils ! Rendez-vous au Hall Saint Martin les 18 et 19 septembre avec tous les acteurs du transports et les valdoisiens.

  • La défense du département dans le Grand Paris : du gaspillage d'argent public ! Quelle inconséquence de la part de ceux qui n'ont rien dit, rien fait, rien vu venir sur le sujet. La balle est dans le camp de Christian Blanc et à l'Elysée, c'est à dire auprès de leurs amis politiques.

La réalité, c'est que ces messieurs sont des élus d'un autre temps (à signaler qu'aucune femme n'a été jugée suffisamment représentative à droite pour siéger au conseil général) et qu'ils se croyaient quasiment inamovibles jusqu'à la douche froide de mars 2008 qui les a réveillés. Mais ils n'ont pas pour autant changer d'époque !

Et que dire de leur candidat à Argenteuil ? Que sa campagne se désintéresse totalement du département et qu'il règne à droite une odeur nauséabonde de revanche à tout prix, au prix de tracts grossiers de caniveau.

Je ne lis pas dans le marre de café mais j'ai confiance à la capacité de notre candidate Marie-José Cayzac et au bon sens des électeurs du canton qui l'ont élue en 2008. Face au candidat de la droite revancharde, d'une droite qui ne propose rien et qui soutient aveuglément toutes les décisions gouvernementales, ils sauront choisir. 

Aux urnes citoyens les 20 et 27 septembre !

Gérard Sébaoun,
conseiller général et municipal de Franconville,
président du groupe socialiste au conseil général

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8 septembre 2009 2 08 /09 /septembre /2009 14:48

Maire-Noëlle Lienemann - Tribune | Lundi 07 Septembre 2009

La «contribution climat énergie» n'est pas une taxe carbone, explique Marie-Noëlle Lienemann. Ancien membre de la commission environnement et de la commission spéciale «changement climatique» du Parlement Européen, elle demande la mise en place d'une vraie taxe carbone, dans le cadre d'une fiscalité écologique de gauche. Avec une certitude: il existe une alternative intelligente aux propositions Rocard/Sarkozy.



Le débat sur la « contribution climat énergie » s’engage dans une extrême confusion et les propositions de la commission Rocard vont discréditer l’idée, pourtant essentielle, d’une fiscalité écologique.

La contribution « climat énergie »  est purement et simplement une taxe sur la consommation intérieure d’énergie qui aura pour effet de pénaliser le pouvoir d’achat des ménages les plus modestes et la compétitivité des entreprises. Cette taxe n’a rien à voir avec la taxe carbone qui doit être fondée sur le bilan global carbone des produits et s’imposer aux importations aussi bien qu’à la production nationale, ce qui favoriserait l’éco-innovation et pénaliserait les transports de longue distance comme  les délocalisations infondées. Il est indispensable d’aller vers cette taxation du carbone. Au-delà, créer un impôt injuste pour reverser des compensations aux personnes modestes est une usine à gaz socialement polluante et absurde !

Il faut reprendre immédiatement le principe d’une taxe carbone sur tous les produits et services.  Elle doit pouvoir ainsi contribuer à relocaliser de nombreuses activités. Elle doit être mise en place progressivement sur les produits les plus carbonés et par filière. Il faut taxer sur la base du bilan carbone qui doit être généralisé et systématique. On nous objecte sa complexité, en particulier pour établir les kilomètres parcourus entre la production et la consommation. Pour simplifier la donne et éviter les critiques de l’OMC, on pourrait définir des zones de distances moyennes. La complexité est un argument à géométrie variable, hier utilisé contre la taxe Tobin qui semble aujourd’hui réhabilitée. La complexité des produits dérivés, elle, n’a rebuté personne, bien au contraire !

De toute façon, si on veut lutter contre l’effet de serre et « dé-carboniser » nos économies, il faut généraliser la traçabilité des  produits et les bilans « carbone ». Puisque nous avons beaucoup de jeunes au chômage, il y aurait urgence à créer des emplois jeunes pour aider les PME, les collectivités locales, les associations à établir leur bilan carbone et les conseiller pour économiser la consommation d’énergie. Ces emplois, financés d’abord par la puissance publique, pourraient à terme devenir marchands et être source de la création de nombreuses entreprises. Exigeons-le immédiatement !

La taxation systématique de  la consommation d’énergie est injuste car elle touche des personnes qui n’ont, le plus souvent, pas d’alternative pour la réduire.

 50% des habitants sont des locataires, ce ne sont pas eux qui vont pouvoir transformer la qualité thermique de leur appartement. Certes ils pourront réduire fortement leur chauffage mais l’enjeu est d’abord la nature du logement… Alors il existe des alternatives comme faire payer aux propriétaires une taxe sur le logement en fonction de la classe thermique ( A,B,C,D…). Si le propriétaire fait des travaux, ceux-ci sont déduits de l’impôt cela s’ajoutera à l’éco-prêt à taux zéro. Pour les plus impécunieux, il faudra doper la Prime d’Amélioration de l’Habitat qui est une subvention complémentaire.

Dans le domaine des transports, il serait absurde de faire payer à la SNCF, à la Ratp, les transports en communs (ceux par bus pourraient être taxés en fonction de la qualité énergétique de la flotte). En revanche, il faut pousser à la densité urbaine, combattre l’étalement urbain et la spéculation foncière qui envoie, loin des centres et des transports en commun, les plus modestes. On doit taxer de façon progressive et dans certains cas confiscatoire les plus-values foncières et immobilières excessives. On pourrait créer une taxe de « sous densité » sur le foncier en fonction de l’occupation de la parcelle dans les centres urbains.

Ces deux exemples montrent qu’il existe des fiscalités écologiques justes, incitatives et non aveugles.

Il est clair qu’il nous faut progressivement accroître le coût de l’énergie et tenir compte de sa pollution. Mais on ne commence pas par taxer tout le monde et empêcher les investissements structurants permettant de réduire la  révolution thermique ! Il faudra planifier la hausse des prix, en fonction des progrès déjà réalisés et à promouvoir. Ce qui exige une planification écologique sérieuse  et nécessite de créer une tarification de l’énergie et de l’essence qui soit stable (les yoyos du prix du pétrole tuent la « rentabilité » de certains travaux d’économie d’énergie et du coup dissuadent de s’y engager !). Elle doit aussi, pour le gaz et l’électricité, être progressive en fonction de la consommation pour combattre le gaspillage sans pénaliser les familles modestes. Hélas cette stratégie devient très difficile avec la libéralisation. Néanmoins c’est possible, par exemple en relançant l’idée d’une TIPP flottante qui permette de stabiliser les prix en dépit des cours du pétrole et qui augmenterait très progressivement.
 
Ces propositions ne sont pas exhaustives. Ces quelques exemples montrent qu’on peut concevoir une fiscalité écologique de gauche ! Les propositions Rocard, de Sarkozy, ne le sont pas. Des alternatives existent !

Par ailleurs, rappelons que l’Union Européenne, donc la France, ont adopté un plan énergie-climat qui impose à chaque Etat membre, pour 2020, une réduction de 20% de notre énergie primaire consommée, de 20% des émissions de CO2 et la production de 20% de notre énergie en énergie renouvelable. Cette ambition est en-deçà des demandes des experts du GIEC, mais quoi qu’il arrive à Copenhague, c’est la base minimale qui s’impose à nous. Nulle étude ne prouve, et encore moins ne chiffre les économies acquises par une contribution climat énergie. Il y a de très nombreuse décisions à prendre immédiatement pour atteindre ces objectifs et là, du coté du gouvernement, des politiques industrielles, des collectivités locales, la mobilisation est insuffisante.  Et là il y a urgence !
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7 septembre 2009 1 07 /09 /septembre /2009 18:12

Le PS n'est pas le "nombril de la gauche" selon Benoît Hamon
NOUVELOBS.COM | 07.09.2009 | 08:55

Le porte-parole du Parti socialiste, Benoît Hamon, a déclaré que le PS devait "cesser de se croire le nombril de la gauche" pour travailler avec ses autres composantes, parfois jusqu'à "la gauche radicale".

Benoit Hamon (Sipa)

Benoit Hamon (Sipa)

A l'occasion d'une réunion organisée par le PS à Mulhouse (Haut-Rhin), Benoît Hamon a estimé dimanche 6 septembre que "le PS doit cesser de se croire le nombril de la gauche", ajoutant qu"il doit travailler avec les autres partis, du PC au PG, aux Verts, aux radicaux, parfois même jusqu'à certaines composantes de la gauche radicale".

De la "clareté" au MoDem

"Pour gagner, il faut faire émerger un candidat commun à la gauche, quel qu'il soit et d'où qu'il vienne", a-t-il ajouté. Interrogé en marge de la réunion sur "l'offre de dialogue à l'opposition", formulée dimanche par le président du MoDem, François Bayrou, Benoît Hamon a par ailleurs estimé que ce dernier avait "loupé une occasion de clarifier l'identité politique" de son mouvement. Fin août, la première secrétaire du PS, Martine Aubry, avait déjà déclaré que son parti était "ouvert" aux démocrates, mais qu'il revenait à François Bayrou d'apporter "la clarté".
(Nouvelobs.com)
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5 septembre 2009 6 05 /09 /septembre /2009 22:36
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1 septembre 2009 2 01 /09 /septembre /2009 15:36

Chers amis, chers camarades,

Je voudrais donc saluer la municipalité de la Rochelle pour la chaleur de son accueil. Saluer les militants de la fédération de Charente maritime pour leur mobilisation, leur dévouement, autant de camarades qui ont permis, une fois encore, que cette université se déroule dans de bonnes conditions. Remercier aussi les permanentes et les permanents qui travaillent depuis de longs mois à la réussite de ce rendez vous. Saluer enfin la présence des intervenants qui ont animé ces deux journées de débats, les camarades socialistes, bien sûr, mais surtout les intervenants extérieurs, qui ont accepté de dialoguer avec nous, qui n'ont pas hésité à bousculer nos habitudes de pensée, et qui sont parvenus, parfois, à ébranler nos certitudes.

On a souvent dit que le PS s'était coupé du monde intellectuel. Ce week end a offert un démenti spectaculaire à cette idée reçue. On a parfois dit que le PS était isolé à gauche : la présence de nos amis et camarades du PCF, des Verts, du MRC, du PRG prouvent le contraire.

On a parfois moqué un PS prétendument éloigné du monde salarié : les représentants des grandes centrales syndicales étaient avec nous pendant deux jours.

Chers camarades, les socialistes ne sont pas des spécialistes de l'autosatisfaction. C'est bien, car cela veut dire que nous sommes continuellement exigeants avec nous mêmes, et puis ça fait la différence avec le camp d'en face. Mais il faut savoir être fiers de ce que nous réussissons. Cette université n' pas seulement été une réussite en terme de convivalité ou de qualité de débat. Elle a montré le vrai visage de notre organisation qui, en dépit des épreuves, des défaites, des découragements, sait puiser l'energie pour se ressaisir, pour rebondir, pour repartir au combat.

Ce week end, nous avons rappelé, après des semaines de confusions, que nous savons être au rendez vous. avec les Français Qu'il faut compter avec nous. Que nous restons la principale force d'opposition à la politique de Nicolas Sarkozy, que nous restons la principale force d'alternance dans ce pays. Le message de la Rochelle, c'est d'abord celui là. Français, vous pouvez compter sur nous !

Chers camarades

Notre rendez vous de fin d'été se tient dans un contexte particulier.

Les Français traversent douloureusement une crise économique et sociale d'une ampleur inégalée. Pendant l’été, la grande machine à licencier ne fait pas relâche. Les plans de licenciements pleuvent, notamment dans le secteur industriel.

Certains experts nous expliquent pourtant que la reprise est à nos portes; Que tout va rentrer dans l'ordre. Et d'ailleurs c'est vrai. Pour certaines catégories professionnelles, dans certains secteurs, tout est déjà rentré dans l'ordre. Le casino est rouvert. Les banquiers qui mendiaient en hiver les subsides de l'Etat se remettent lentement de leurs émotions en été : des milliards de bonus sont provisionnés pour les traders, les rémunérations patronales ont dépassé depuis longtemps le niveau d'indécence.

On nous dit qu'il s'agit là d'un scandale moral. C'est en effet un scandale, mais cela n' a rien à voir avec la morale. De tels dysfonctionnements, de telles pratiques sont au coeur du code génétique du capitalisme financier. Nous ne sommes pas là pour le « moraliser », nous sommes là pour le transformer en profondeur, pour imposer lui des régulations fortes.

Oui, chers camarades, le monde traverse une crise sans précédent depuis l'après guerre. mais la crise ce n'est qu'un mot. Derrière ce mot , il ya une réalité sociale. Derrière ces mots, « recession », « précarisation », « chômage structurel », il y a des vies brisées, il y a des hommes et des femmes qui souffrent : la difficulté à boucler les fins de mois, l'impossibilité de partir en vacances pour des dizaines de millions de foyers, le parcours du combattant pour accéder au crédit, les familles précipitées dans la spirale de l'endettement. La réalité sociale, c'est ça.

Et les Français, en particulier ceux que nous aspirons à représenter, le monde du travail, attendent avant tout du parti socialiste qu'il soit à leurs côtés, qu'il leur soit utile, qu'il réponde à leurs inquiétudes, leurs préoccupations, leurs aspirations. C'est cela qui doit avant tout occuper nos réunions, c'est cela qui doit mobiliser notre énergie.


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1 septembre 2009 2 01 /09 /septembre /2009 13:14
Discours d'Emmanuel Maurel, La Rochelle, dimanche 30 août 2009
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