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3 décembre 2012 1 03 /12 /décembre /2012 18:46

guedj-rmc1.pngJérôme Guedj était ce lundi 3 décembre 2012 l’invité de RMC dans l’émission de Jean-Jacques Bourdin, pour redire ce qu’il pense du dossier Florange : « J’aurais préféré qu’on mette en œuvre la  nationalisation temporaire ; c’est la réhabilitation de l’intervention de la puissance publique dans l’économie ».

http://podcast.rmc.fr/channel30/20121203_bourdin_3.mp3

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3 décembre 2012 1 03 /12 /décembre /2012 17:01
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3 décembre 2012 1 03 /12 /décembre /2012 10:32

Retrouvez l'interview du lundi 3 décembre 2012 à 7h50 de Marie-Noëlle Lienemann sur France Inter

pod cast radio france

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30 novembre 2012 5 30 /11 /novembre /2012 10:07

lienemannMarie-Noëlle Lienemann, Sénatrice de Paris, ancienne ministre du logement et ex-présidente de l'Union Sociale de l'Habitat, participera lundi 10 décembre à l'invitation de Dominique Lesparre, Maire et Conseiller général (PCF) de Bezons, aux 3èmes Rencontres du Logement, organisées par la Ville de Bezons et le collectif départemental du Logement.

Ce sera l'occasion de présenter les analyses respectives des acteurs du logement sur la nouvelle politique en matière d'habitat initiée par le gouvernement et la Ministre de l'égalité des territoires, Cécile Duflot.... l'occasion également d'en débattre avec les citoyens.

"Maintenant la Gauche" dans le Val-d'Oise se félicite de cette initiative et salue le déplacement de Marie-Noëlle Lienemann, une de ses voix médiatiques à l'échelle nationale.

Nous invitons l'ensemble des militants et sympathisants socialistes valdoisiens à profiter de cette occasion pour participer au débat.

affiche_Bezons_10-12-2012.JPG

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29 novembre 2012 4 29 /11 /novembre /2012 09:43

logo_MLG_95-copie-1.jpgnouveau-logo-psChers Amis, Chers Camarades,

Après un congrès, qui aura finalement donné plus de temps à la phase de désignation du Premier Secrétaire Fédéral qu'au débat d'idées, nous estimons avoir marqué des points importants durant la période.

Notre motion "Maintenant la Gauche" (n°3) est arrivée deuxième au suffrage des militants, recueillant près de 14% de leurs suffrages au niveau national et 16% au niveau départemental. La candidature d'Emmanuel Maurel au poste de Premier Secrétaire National a rassemblé 28% des suffrages, le meilleur score jamais réalisé par "l'aile gauche" du Parti Socialiste ; notre candidate départementale, Adélaïde Piazzi, a également réuni plus de voix sur son nom que la motion 3 elle-même.

La tonalité du Congrès de Toulouse en a été réellement influencée, avec des responsables socialistes qui adoptaient une posture offensive sur les questions économiques, sociales et démocratiques.

Cette tonalité a été contredite par l'annonce du "Pacte de Compétitivité", comme si une "motion 6" - le rapport Gallois - s'était subrepticement immiscée dans une synthèse socialiste qui n'avait pas eu lieu.

Cependant, nous continuons de porter les principaux axes du débat politique - demande d'une campagne nationale pour le droit de vote des étrangers, offensive pour la nationalisation temporaire de Florange et Petroplus, exigence de contreparties des entreprises pour le "Pacte de Compétitivité", vigilance dans le débat européen - et nous pouvons constater que nos expressions publiques sont en résonance avec la gauche sociale et politique.

C'est dans ce contexte général que nous vous proposons de réunir la première assemblée générale valdoisienne de la motion 3 "Maintenant la Gauche" :

Mardi 18 Décembre 2012

à 20h30

Centre Socio-Culturel Louis-Aragon
à GONESSE

  20 bis, avenue François-Mitterrand

plan et invitation à télécharger

Nous aborderons à l'ordre du jour :

  1. situation politique nationale et départementale ;
  2. organisation du courant "Maintenant la Gauche" ;
  3. Travail sur les territoires du Val-d'Oise ;
  4. questions diverses.

A une semaine des fêtes de Noël, nous en profiterons évidemment pour conclure la soirée autour du verre de l'amitié (vous pouvez apporter jus de fruits, boissons diverses, plats sucrés et salés), l'occasion pour nous de remercier une nouvelle fois Emmanuel Maurel et Adélaïde Piazzi pour leur engagement intense depuis plusieurs mois.

Comptant sur votre présence nombreuse,

Amitiés socialistes,

Frédéric FARAVEL
Mandataire fédéral de la motion 3

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29 novembre 2012 4 29 /11 /novembre /2012 09:14

Le club Gauche Avenir vous convie à une Assemblée des gauches et des écologistes le 12 décembre 2012

COMPÉTITIVITÉ, EMPLOI, REDRESSEMENT INDUSTRIEL

QUELLES ALTERNATIVES ?

Avec la participation de

  •     Marie-Noëlle Lienemann, Sénatrice socialiste et co-présidente de Gauche Avenir
  •     Pierre Laurent, Premier secrétaire national du Parti Communiste et Sénateur
  •     Jean-Vincent Placé, Sénateur et Président du groupe Europe Ecologie Les Verts
  •     Jean-Luc Mélenchon, Co-président du Parti de Gauche et Député Européen
  •     Christian Eckert, Député socialiste et rapporteur général de la commission des finances
  •     Guillaume Duval, Rédacteur en chef d’Alternatives Economiques
  •     Dany Lang, membre du collectif "Les Economistes Atterrés"
  •     Liem Hoang Ngoc, Député européen socialiste
  •     Henri Sterdyniak, membre du collectif "Les Economistes Atterrés" et de l'OFCE
  •     Paul Quilès, Ancien Ministre et co-président de Gauche Avenir

gauche_avenir_12-12-2012.jpg

mercredi 12 décembre 2012

au Musée Social

de 18h à 22H

5 rue Las Cases
75007 PARIS

Retrouvez nous sur facebook

Merci de confirmer votre présence par mail à contact@gaucheavenir.org

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28 novembre 2012 3 28 /11 /novembre /2012 15:43

Emmanuel-Maurel JDD

La naissance d’un nouveau courant socialiste, c’est long... Après un texte déposé au congrès de Toulouse en octobre, Emmanuel Maurel et ses camarades de «Maintenant la gauche» ont calé une réunion de leurs «animateurs» le 9 février à Paris. «Pas question de faire un pied dedans, un pied dehors. On est un courant à l’intérieur du PS», jure Marianne Louis, une des responsables de cette nouvelle aile gauche. Avec d’autres personnalités comme le député de l’Essonne, Jérôme Guedj, et la sénatrice de Paris, Marie-Noëlle Lienemann, Maurel et les siens prévoient de réunir leur direction de courant tous les mois, de s’investir davantage dans le Parti socialiste européen (PSE) en adhérant directement et de partir tout de suite pour une «tournée des popotes» dans les régions.

Premiers départements : l’Eure et la Seine-Maritime.

Pour confirmer les 13% de sa motion à Toulouse et les 28% de Maurel face à Harlem Désir, ce nouveau courant souhaite également organiser au printemps un week-end de formation de ses militants. Et comment on finance tout ça? Une association de financement est à l'étude pour récolter les cotisations de leurs élus. L.A.

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28 novembre 2012 3 28 /11 /novembre /2012 08:05

240px-Jérôme Guedj 2010« Du scepticisme jusqu’à la franche hostilité », ainsi pourrait-on résumer la gamme des sentiments des parlementaires socialistes que je croise et qui parfois s’expriment sur la traduction législative du plan de compétitivité. Car le calendrier s’est accéléré. L’amendement introduisant le Crédit Impôt Compétitivité Emploi (CICE) sera déposé par le gouvernement dans les prochaines heures et on peut ainsi le résumer : « un crédit d’impôt de 20 milliards d’euros pour toutes les entreprises, financé par une modulation à la hausse des taux de TVA ». Simple et efficace ? Simpliste et inefficient semblent dire, tout courants confondus, les députés de la majorité qui souhaitent exercer leur droit d’amendement. Car tous le disent : le dispositif est risqué politiquement et économiquement incertain.

Politiquement risqué d’abord parce que par son mécanisme intrinsèque, le dispositif du crédit d’impôt va conduire l’état à adresser des chèques aux entreprises en 2014 sans distinguer entre celles qui, dans l’esprit du pacte de compétitivité auront investi dans la recherche, dans l’innovation, dans la formation, dans l’emploi, et celles qui auront licencié, distribué des dividendes, augmenté la rémunération de leurs dirigeants, etc. Au fond, dès 2014, il faudra expliquer qu’au moment où la gauche, avec le PLFSS 2013 met à la convergence tarifaire entre hôpitaux publics et cliniques privées, le CICE va bénéficier aux cliniques privées. Expliquer encore les chèques à 8 zéro versés aux entreprises du CAC 40 qui domicilient leurs 70 milliards de profits hors de France et en distribuent 40 milliards aux actionnaires. Demain, un chèque SANOFI, un chèque Carrefour ou un chèque MITTAL pourrait être pour nous aussi désastreux que le chèque Bettencourt issu du bouclier fiscal de Sarkozy. Expliquer enfin que dans de très nombreuses circonscriptions, au nom de la compétitivité de l’industrie française, le plus gros bénéficiaire du crédit d’impôt aura été en fait le secteur de la grande distribution soumis comme chacun sait, aux risques de délocalisation et exposé à la compétition internationale…

Économiquement incertain ensuite, puisqu’il s’agissait au départ – légitime débat porté durant la campagne par François Hollande – de combattre le déclin de nos industries. Or nous est aujourd’hui proposé un texte qui dans son périmètre s’adresse à toutes les entreprises, ce qui entraîne une dilution des vingt milliards d’euros mobilisés au profit d’entreprises pour qui, au regard de la compétitivité, le coût du travail n’est pas un sujet. Dans le même temps, en ne fléchant pas l’usage de la trésorerie ainsi rendue disponible vers la recherche, le développement et l’innovation, le gouvernement se prive du seul levier connu pour renforcer la compétitivité de l’économie. Car en réalité, il est naïf de croire qu’une baisse de 6% en valeur de la masse salariale suffira à restaurer la compétitivité de nos vieilles industries sur la scène mondiale quand on sait que cette diminution aura un impact sur le prix de vente final de l’ordre de 1%. Ou dit autrement, voilà un dispositif qui permettra à un fabricant d’électroménager français de vendre un cuiseur vapeur 99€ au lieu de 100€. Les chinois n’ont qu’à bien se tenir ! Flécher les vingt milliards de réduction d’impôt sur la recherche et l’innovation (sous réserve de réformer le CIR objet de nombreux abus) est en effet probablement plus efficace pour soutenir la compétitivité de notre économie.

Dans le même temps, le dispositif pourrait bien avoir, sur les salaires, des effets secondaires contreproductifs. En effet, à rebours de toute la théorie économique sur les salaires, le plafond du bénéfice du CICE à 2,5 fois le SMIC crée un effet-couperet qui risque fortement de dissuader de toute augmentation de salaire au-delà de ce seuil. Tout cela ressemble à un deal perdant perdant.

Alors que faire ? Ici, les parlementaires et le parti majoritaire doivent jouer leur rôle. Même si les délais sont brutalement accélérés. Il ne s’agit pas tant de s’opposer frontalement au gouvernement que d’introduire, dans le dispositif, la finesse que requièrent la difficile combinaison de l’efficacité et de la justice.

Il faut d’abord réintroduire la notion de contrôle et, par conséquent, de sanction. Car au fond, la règle de bonne gouvernance selon laquelle il n’y a pas d’argent public sans contrôle public doit s’exercer comme une vérité d’évidence. Cela suppose de définir des critères d’éligibilité au dispositif en amont, d’imposer de la transparence pendant, et de prévoir un mécanisme d’évaluation / sanction après. La loi doit donc prévoir des critères pour bénéficier du CICE : le maintien de l’emploi, la non-délocalisation des activités et la localisation sur le territoire national, la stabilisation de la rémunération des dirigeants et l’encadrement des dividendes. Voilà ce qui manque au texte actuellement. Voilà comment les parlementaires socialistes doivent l’amender. L’exercice du contrôle, quant à lui, pourrait relever des partenaires sociaux dont l‘accord serait nécessaire au versement du CICE.

Il faut ensuite se donner les moyens d’atteindre l’objectif économique de renforcement de notre compétitivité. Cela suppose d’affiner les modalités d’utilisation, par les entreprises du CICE, en particulier vers la recherche et l’innovation. Cela suppose aussi, sans doute, d’exclure du dispositif certains secteurs non délocalisables (santé, grande distribution) ou certaines activités spéculatives sur les marchés financiers. Bref, de cibler davantage.

C’est à la fois peu, mais c’est déjà beaucoup. A l’heure où la pression des milieux économiques sur le gouvernement est si forte et le mouvement social si atone, ce sont les parlementaires socialistes qui, s’appuyant sur un PS qui propose, doivent être les porte-voix des couches populaires.

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27 novembre 2012 2 27 /11 /novembre /2012 15:28

laurent_fabius.png"Maintenant la Gauche Val-d'Oise" se réjouit de la position réaffirmée par la voix de Laurent Fabius, ministre des affaires étrangères : La France votera en faveur d'un statut d'Etat non membre à l'ONU pour la Palestine.

Le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, doit demander jeudi aux Nations unies d'accorder ce statut à la Palestine, se disant prêt à entamer des pourparlers avec Israël une fois qu'il l'aura obtenu.

Nous saluons le travail mis en oeuvre par la France depuis l'élection de François Hollande à la présidence de la République et la nomination de Laurent Fabius comme titulaire du Quai d'Orsay : notre pays a retrouvé sa position équilibrée qui lui permet d'être un médiateur impartial et efficace entre les peuples arabes et l'Etat d'Israël, alors que Nicolas Sarkozy s'était aligné sur les positions les plus droitières du Likud et du gouvernement réactionnaire de Benyamin Nethanyahu. Nous en avons vu les résultats lors des négociations en vue d'une trêve entre les groupes palestiniens qui contrôlent la bande de Gaza et l'Etat d'Israël.

Israel_Palestine.jpgIl est temps désormais d'avancer à nouveau vers la reprise des négociations de Paix qui doivent garantir la sécurité des Israéliens et un Etat souverain, viable et démocratique aux Palestiniens dans les frontières de 1967.

Nous espérons que les élections législatives anticipées en Israël soient une étape sur ce chemin, comme la sanction que laissent entrevoir les sondages à l'encontre de l'alliance Likud/Ysraël Beytenu ; la renaissance de Avodha (parti travailliste), enfin débarassé de la figure d'Ehud Barak (qui l'avait abaissé puis abandonné en janvier 2011), et la détermination du Meretz (gauche travailliste et pacifiste) nous semblent également des bases utiles et nécessaires pour l'avenir.

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26 novembre 2012 1 26 /11 /novembre /2012 14:06

"Maintenant la Gauche" se félicite de la détermination politique du Ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, dans ce dossier. Nous rappelons que c'est une proposition que nous avons fait durant tout le congrès du Parti Socialiste de septembre à octobre 2012.

Nous rappelons également que nous avons lancé une grande campagne nationale pour mobiliser les fédérations et les militants du Parti Socialiste dans ce sens.

Vous retrouverez d'ailleurs ici le texte que nous avons avons adressé à tous les militants socialistes valdoisiens le 21 novembre dernier ; nous attendons la réponse du Premier Secrétaire fédéral du Val-d'Oise pour faire adopter cette résolution.

Florange: le PS soutient l'idée d'une «prise de contrôle public temporaire»
Le Parisien - 26.11.2012

Montebourg_Florange.jpgLe Parti socialiste a averti lundi que la majorité ne laisserait pas «Mittal sacrifier Florange», dans un communiqué où il dit «soutenir la solution d'une prise de contrôle public temporaire de l'Etat».

Jeudi, le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg avait menacé Mittal, à mots couverts, de nationaliser, au moins temporairement, le site sidérurgique de Florange en Moselle afin de lui trouver un repreneur.

«Des repreneurs sérieux et des industriels reconnus se sont faits connaître auprès du gouvernement, précise le Parti socialiste. Il revient maintenant au groupe ArcelorMittal de prendre ses responsabilités et d'accepter la cession du site dans son intégralité, filière chaude et filière froide, afin de permettre à un repreneur d'assurer, avec l'appui du FSI, l'avenir de l'industrie sidérurgique à Florange».

Les membres de la famille Mittal se disent «extrêmement choqués» dans les colonnes du quotidien Le Monde daté de mardi, par les propos du ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg, lequel a affirmé «ne plus vouloir de Mittal en France».

«Nous ne voulons plus de Mittal en France parce qu'ils n'ont pas respecté la France», a expliqué Arnaud Montebourg au quotidien économique Les Echos paru ce lundi, menaçant de nationaliser temporairement le site de Florange si ArcelorMittal n'acceptait pas de le céder dans sa totalité. Le ministre du Redressement productif travaille sur un projet de nationalisation avec un partenaire industriel.

Le 1er octobre, ArcelorMittal a annoncé son intention de fermer la filière liquide de Florange (production d'acier brut à partir de fer et de charbon) et a laissé 60 jours au gouvernement pour trouver un repreneur pour les installations qu'il ne souhaitait plus exploiter, délai qui expire samedi 1er décembre.

Lors de cette offensive en règle contre ArcelorMittal, Arnaud Montebourg a reçu le soutien de plusieurs figures de la majorité ainsi que d'élus mosellans de tous bords. Le président de l'Assemblée nationale Claude Bartolone a estimé lundi sur LCI que Mittal n'était «pas Merlin l'enchanteur», soutenant le ministre du Redressement productif.

Dans le cadre de cette affaire, le PDG d'ArcelorMittal Lakshmi Mittal sera reçu ce mardi à l'Elysée par François Hollande.

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